Voici le portrait d’une voiture électrique à 100%  que le Pdg d’Hydro Québec M Vandal, ami de Jean Charest, a reçu du consortium Hydro Québec et Dassault en juin 2007. On peut lire dans un grand quotidien du 2 mars 2007, soit trois mois avant que le P.D.G. d'Hydro-Québec

en reçoive une en cadeau et que la poste française eut commencée à livre le courrier avec ce véhicule que la voiture serait une 4 places de l'allure de la Jetta et qu'elle se vendrait

Cette voiture à 100% électrique, est munie d’un moteur le plus performant au monde et développé chez-nous au Québec au coût de plus de $230 millions venus de nos taxes.

On pouvait lire dans un grand quotidien quand Vandal, Pdg d’Hydro Québec, a reçu le véhicule
en juin 2007, que le gouvernement Charest cherchait un fabricant et ne savait pas le prix de vente.

Aujourd’hui nous voyons l’argent de nos taxes et impôts dépensés à des fins publicitaires pour le
développement d’un moteur électrique pour véhicule.

Commençons par celui que nous avons développé ici au Québec et payé au coût de plus de $230
millions.

Montage financier

Des projets nous en avons, et nous avons les capacités et la matière grise pour les réaliser, mais
pour agir en toute liberté, il faut se donner les moyens.

Premier atout pour financer ces projets

Les syndicats: la FTQ avec le fond de solidarité a aujourd'hui un actif de plus de $7.2 milliards, les
Réer la FTQ constituent la principale rentrée de fonds. La CSN va dans le même sens aujourd'hui
mais nous n'entendons moins parler d'elle compte tenu qu'elle a débuté tout dernièrement. Les
Caisses de retraites et les fonds mutuels en 1996 totalisaient plus de 250 sociétés. Leurs
succursales implantées au Québec ont déporté plus de $200 milliards et aujourd’hui en 2006 c’est
plus de $300 milliards d'économie québécoise. Et comme pour faciliter les exportations de notre
économie, en 2005 le conquérant qui siégeait à Ottawa sous la bannière libérale a illimité la limite
de contenu étranger des régimes enregistrés permettant du fait même aux investisseurs d’avoir
100% de placements étrangers dans leurs RÉER.

Deuxième atout pour financer ces projets

Le critique en matière de finances de l’opposition officielle du parlement de Québec, le député de
Rousseau, M. François Legault, écrivait en 2005 qu’après les cinq premières années d’un Québec
souverain que celui-ci dégagerait un profit de $17 milliards après avoir payé la part de la dette
fédérale et le rachat de tous les actifs fédéraux en sol québécois.

Si nous prenons comme exemple, le fédéral a remboursé plus de $90 milliards sur sa dette depuis
10 ans et que nous formons le quart de la population, cela équivaut à $22.5 milliards sur 10 ans, à
raison de $2.25 milliards par année. En se basant sur le rapport du député de Rousseau, ça serait
$11.25 milliards à ajouter à son $17 milliards pour un total de $28.25 milliards.

Voici ce que le CD Howe Institute des États-Unis d'Amérique écrivait lors du référendum sur la
souveraineté du Québec en 1995:  Pas de dettes venant de l'extérieur du Québec aux Québécois et Québécoises, en vertu du droit international qu'un Québec souverain n'a pas d'obligation légale d'assumer une quelconque dette fédérale et ainsi deviendrait propriétaire de tous les actifs présents fédéraux sur son territoire et sans compensation. (Charte des Nations-Unies représentant 3 milliards de personnes et 188 pays.  Adresse Internet: (www.un.org/french).

Avec ce montant de $28.25 milliards, ce projet de voiture électrique québécoise et bien d’autres
sont plus que faisables, ils sont même réalisables.