Que les PDG de compagnies prêchent par l'exemple.

Quand il y a une restructuration dans des compagnies, les PDG, au lieu de sabrer dans le salaire
des employés qui ne gagnent qu'une petite fraction du salaire du PDG si ce n'est pas sous le seuil
de la pauvreté, si bien que leurs conjoints doivent travailler à l'extérieur de la maison, devraient
commencer par eux et les membres de conseil d'administration et abaisser leurs salaires et à tout
le moins éliminer les options. 

Entre temps les enfants des employés écopent.

D'autres options sont sur la table:

1- Que toute augmentation soit en pourcentage basée sur le salaire minimum le plus haut, tant
pour les employés que les cadres et Pdg.
2- Que toute baisse de salaire consentie de la part de travailleurs d'usine, soit une déduction
d'impôts de l'ordre de 50% pour la première année de sa mise en application, le tout
fractionné en mois. Le 50% de la baisse de salaire restant, qu'elle soit remise aux employés en
parts non votantes de la compagnie en date d'entrée en vigueur de la baisse.
3- Que 50% des augmentations de salaire qui sont basées sur le salaire minimum le plus haut
soient en parts non votantes, selon l'ordre accepté par les employés, remises une fois par
mois. La valeur des parts non votantes évaluées selon le marché à la fin de chaque mois.
4- Que tous les employés d'usine qui ont voté pour un gel de salaire pour un temps déterminé,
aient $0.25 de l'heure travaillée remis une fois par mois sous forme de certificat qui
représentera des parts non votantes de la compagnie.
5- Que les employés soient libres d'acheter des parts non votantes à tous les mois, et le prix sera
déterminé à la date payée de l'achat.