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Avec un gouvernement d’allégeance fédéraliste, pas question de mettre en vente sur le marché québécois des convertisseurs pour transformer des voitures qui fonctionnent à l’essence vers l’électricité.
Le Québec pourrait donner des subventions pour l’achat d’un convertisseur ou d’une voiture électrique.
Le gouvernement actuel serait très embarrassé s’il encourageait une telle pratique. L’Ontario serait la première touchée, elle qui construit, assemble des voitures propulsées à l’essence, et vend toute sa production au Canada. La deuxième touchée, l’Alberta, compte tenu qu’elle produit le carburant (dérivé de pétrole) pour propulser les voitures produites par l’Ontario.
En revanche, l’économie du Québec serait en nette progression, avec des ventes d’hydroélectricité à la hausse, des usines à la grandeur du Québec pour la fabrication de pièces (Gaspédia en Gaspésie pour l’assemblage de voitures électriques, ainsi que Magnolia Asbestos, Hyundai à Bromont et bien d’autres inconnues).
Des garages certifiés qui feraient de la conversion et des services d’entretien, incluant la vente d’électricité (220 amp.) pour un rechargement rapide. Ceci créerait beaucoup d’emplois rémunérés à tous les niveaux. Nous avons l’argent, le vouloir, le pouvoir et les infrastructures, il nous manque la volonté politique, mais il faut être maîtres chez nous (indépendance). Avec un gouvernement d’allégeance fédéraliste, tous ces attributs qui sont bons pour le Québec, ne sont pas dans son agenda. Ce qu’il fait, c’est nous garder en laisse pour donner le temps aux gens qui nous contrôlent, en investissant abondamment dans l’électricité au Québec pour que l’on reste numéro deux. Il nous a reculé avant 1976, au-delà de 95% des éoliennes ne nous appartiennent pas, nous ne faisons qu’acheter la production d’électricité comme avant 1976.