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B.D. Cervelles d'oiseaux
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humoristique
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Comme le gouvernement du Québec l'a fait pour son Hydro, nationalisons nos chemins de fer, notre sécurité l'exige.
Un peu d'histoire
Dans les années 1880, un scandale ferroviaire éclata, comprenant les largesses du gouvernement fédéral au détriment de notre sécurité et nos avoirs.
En 1932, lors de la création du train CN, Ottawa achetait des trains dans le Manitoba, la Saskatchewan et l'Alberta et Ottawa divisa le coût de son acquisition au pro rata des populations incluant celle du Québec. Cette dernière a payé la majorité de ce chemin de fer, soit plus $58 millions et plus de $11.8 millions pour les trois régions, car celle-ci était cinq fois plus peuplée que les trois régions réunies et Québec ne l'avait pas construit.
Vu que le fédéral préconise l'argent avant notre sécurité, l'aide venant du fédéral se fait attendre tout comme pour la tempête du verglas de 1998 qui a ravagé une partie du sud du Québec et qui a privé de courant plusieurs milliers de québécois et qui a occasionné une facture immédiate aux québécois.
Le fédéral avec l'accord du gouvernement libéral du Québec vers 2005, payait sa facture sans les intérêts. L'inondation de Venise en Québec et tout au longs de la rivière Richelieu, le fédéral a envoyé l'armée après plusieurs semaines de demande d'aide. Un soupir de soulagement de la part des sinistrés qui s'est vite tourné en découragement, la facture du fédéral n'est toujours pas acquittée; un autre désastre nous attend: le pont Champlain. Faisons en sorte que les victimes de la catastrophe du lac Mégantic ne soient pas laissées pour contre.
Le Canada, colonie britannique, représenté par sa capitale Ottawa, fait partie de l'association du Commonwealth propriété de l'Angleterre. Cette dernière impose des redevances en pourcentage sur: permis de pêche, permis de chasse, exploitation minière, hydrocarbure, Hydro Québec, papetière, tourbière, etc., pour avoir exploité les terres de la Couronne Britannique; ceci à toutes ses colonies: Canada, Australie, Jamaïque, pour en nommer que quelques unes.
Le Canada tant qu'à lui détient des juridictions. Au Québec les ponts qui enjambent le fleuve St-Laurent, le port de Montréal, certains quais, les Plaines d'Abraham, la voie maritime du St-Laurent, le lac Champlain les chemins de fer et j'en passe; sont de juridiction fédérale.Avec ces juridictions le fédéral contrôle tout ce qui est important dans la colonie (Canada), même la sécurité de ses sujets: le pont Champlain, le Québec devrait le faire construire au plus tôt à sa manière, à ses termes, à ses frais.
Le fédéral détient de l'argent des québécois, il dit qu'il va défrayer un pourcentage du coût, advenant que dans un délai respectable, pas plus d'un an après sa réouverture que 100% de cette somme soit injecté par Québec dans le système de santé.Le pire c'est que l'Angleterre a le droit de vie ou de mort sur ses sujets dans ses colonies et le Québec, dans le Canada, n'y échappe pas. On se rappellera du vote contre la participation à la guerre de 1914-18 et le refus de la conscription de 1939-45 qui a mené en prison le maire de Montréal.
Solution
Nationalisons nos trains et que le tout soit totalement sous la juridiction du ministère des transports du Québec, louons nos chemins de fer aux compagnies (CN, CP, etc.), sécurisons nos voies ferrées et faisons nos propres règlements.
Selon les dires du président de la chambre de commerce de la ville de Lévis, rapportés par un grand quotidien, que la raffinerie Utramar de Lévis Québec, qui est là depuis 40 ans, elle emploie 500 personnes directement et 2000 indirectement, elle a aussi dépensé plus de $2 milliards, c’est une économie importante dans la région.
Le président de la chambre de commerce de la ville de Lévis n’est pas à la hauteur de son poste. S’il veut éclairer le peuple de Lévis et du Québec en joignant les lobbyistes du pétrole albertain sans dévoiler l’autre coté de la médaille, il fait fausse route. Si Ultramar est ici depuis 40 ans et qu’elle a dépensé plus de $2 milliards, c’est qu’il y avait de l’argent à faire ici, malgré toute la compétition du temps. Nous perdrons des emplois sur des pétroliers que possède Ultramar ainsi que son port de mer en eaux profondes car ils seront inutiles pour le pétrole de l’Alberta.
L’économie de la région va écopé de ces pertes d’emplois au profit d’une pipeline qui acheminerait du pétrole de l’Alberta. C’est sans compter le désastre appréhendé à coup sûr en inversant le flot de la pipeline Montréal direction Portland Main. Les ruptures de pipeline seront de monnaie courante. Nous subirons les dégâts ainsi que le coût économique à la baisse de nos propriétés le long de cette dernière, ceci c’est sans compter les interminables pourparlers pour se faire payer la facture du nettoyage de pétrole albertain. En plus, si le peuple du Québec n’est pas souverain (indépendance), il paiera une partie du nettoyage du désastre écologique de l’Alberta, car son territoire est super pollué par l’extraction du pétrole des sables bitumineux.
Faits historiques
1- L’Alberta du sud a fait une faillite technique en 1902, elle s’est donnée à l’Alberta du nord.
2- En 1904, l’Alberta tout en entier croulait sous le poids de sa dette, elle ne pouvait plus payer ses intérêts, et elle ouvrit des pourparlers avec Ottawa pour joindre la confédération, qu’elle fit en 1905.
Le Québec et son peuple étaient les seuls en mesure de sortir l’Alberta de son marasme financier comme ils ont fait avec tous les autres car celles-ci faisaient parties de cette confédération malgré le non consentement du Québec.
3- En 1932, lors de la création du train CN, Ottawa achetait des trains dans le Manitoba, la Saskatchewan et l’Alberta et Ottawa divisa le coût de son acquisition au pro rata des populations incluant celle du Québec. Cette dernière a payé la majorité de ce chemin de fer, soit plus $58 millions et plus de $11.8 millions pour les trois régions, car celle-ci était cinq fois plus peuplée que les trois régions réunies.
4- À la fin des années 70, le Québec par l’entremise d’Ottawa finit la construction de plusieurs édifices à Calgary en Alberta.
5- À la fin des années 90 ou au début des 2000, le peuple du Québec, malgré qu’il envoie plus de $45 milliards d’impôts par année et qu’Ottawa vient chercher plus $35 milliards annuellement en points d’impôts (taxes), le Québec pour la première fois reçoit de la péréquation (argent) d’Ottawa. Ce qui donne des arguments au gouvernement de l’Alberta que le Québec est supporté financièrement par elle.
En réaction, cette dernière forme un parti souverainiste (indépendantiste) du nom de Western Block Party, qui englobe le Manitoba, la Saskatchewan, l’Alberta et la Colombie Britannique pour se séparer du Canada.
Tout ceci sans prendre en considération tout ce que le peuple du Québec a fait pour eux et encore aujourd’hui le Québec défraie le coût de l’éducation et dans certains cas le transport des travailleurs québécois qui vont en Alberta. Ces travailleurs paient des impôts et ces même travailleurs contribuent à l’Heritage Fund, l’équivalent de notre Caisse de dépôts et de placements, et quand ces travailleurs sont malades ou blessés, ils viennent se faire soigner au Québec et le peuple du Québec paie encore. Ceci c’est sans compter qu’Ottawa avec plus d’argent venant de l’Alberta, va s’ingérer davantage au Québec, avec un gouvernement qui l’invite à dépenser plus au Québec. C’est un argument de plus pour l’Alberta contre le Québec.
Voici ce que Souveraineté La Solution inc. a publié dans son journal de mai 2010.
Le Québec contrôlé par des fédéralistes
Selon les dires d’un ancien politicien qui avait entré la première fois en 1964, que son premier dossier qu’il avait à s’occuper, était celui des relations fédérales provinciales sur le déséquilibre fiscal.
C’est dire que le fédéralisme canadien n’a guère changé. Le déséquilibre entre le fédéral (Ottawa) et le Québec est fort simple, le fédéral excède systématiquement ses besoins (ce qui génère des surplus constants), alors qu’au Québec ce sont les besoins qui excèdent les revenus, (qui génèrent des déficits). Voici le déséquilibre fiscal tant décrié.
En effet pour des raisons politiques évidentes, le gouvernement fédéral ne demande pas mieux que d’utiliser ces surplus ou emprunter de l’argent sur le marché mondial pour intervenir dans tous les dossiers chauds où le Québec manque de ressources. Il se donne ainsi l’air d’un sauveur en aidant le Québec avec l’argent des québécois.
Tous les domaines les plus importants relevant du Québec ont fait l’objet d’une telle ingérence: la santé, l’enseignement supérieur, l’aide sociale, l’infrastructure provinciale et municipale, bourse, etc.
Comment peut-on corriger ce déficit fiscal? Ce n’est évidemment pas en permettant au gouvernement fédéral de dépenser encore plus d’argent dans les domaines qui relèvent du Québec. Car cela ne ferait que confirmer le déséquilibre que l’on veut corriger. Plus le gouvernement fédéral dépensera dans des domaines qui relèvent du Québec, plus il voudra conserver les surplus qui lui permettent de le faire. Et c’est là que l’on voit la bêtise absolue du gouvernement qui supplie le gouvernement fédéral de dépenser encore plus d’argent dans l’éducation supérieure et la santé, etc., sous prétexte de corriger le déséquilibre fiscal.
En effet l’histoire a prouvé qu’il est impossible d’amender le Canada, à corriger le déséquilibre
fiscal qui le favorise.
En réalité la seule manière de récupérer ses taxes et impôts et revenus de toutes sortes et de reprendre le plein contrôle de ses compétences, c’est de faire son indépendance. Car l’expérience que nous avons vécue, démontre hors de tout doute raisonnable qu’il est impossible de réformer le fédéralisme canadien.
La solution c’est un vote pour la souveraineté (indépendance) dans notre Assemblée Nationale et au plus tôt.
Mère Nature est maître d’elle-même, elle ne dit pas où elle va frapper, où, quand et combien de temps, peu importe qui ou quoi est sur son passage, elle prend sa place un point c’est tout. Et dire qu’il y a des gens qui pensent que ce plan va contrôler Mère Nature au point qu’elle va arrêter toutes ses activités de par le monde: inondations, sécheresses, etc.
D’après le ministre de l’environnement dans le cabinet de Jean Charest, le Québec deviendra la première province à faire l’expérience d’une bourse de carbone (droit de polluer). Les règlements de cette bourse sont appuyés sur les règles de la Western Climat Initiative (WCI) qui regroupe les dirigeants, au Canada, de l’Ontario, de la Colombie Britannique et du Manitoba; et aux États-Unis, de la Californie, de l’Orégon, du Nouveau-Mexique, de l’Arizona, de Washington, du Montana, et de
l’Utah.
Cette bourse de carbone (droit de polluer) est à l’essai en 2012 et entrera en vigueur en 2013. Ce droit de polluer touchera seulement les industries québécoises qui émettent plus de 25000 tonnes
de gaz à effets de serre (GES) annuellement. Le 1er janvier 2015, elle s’appliquera aux entreprises qui importent ou distribuent des carburants ou du combustible utilisés pour le transport, le bâtiment, etc. qui génèrent plus de 25000 tonnes GES) par année. Quelle farce!
Est-ce que la compagnie vendeuse de droit de polluer va passer le revenu de sa vente dans le coût de ses produits? À coup sûr la compagnie qui a acheté le droit de polluer, va passer le coût de
son achat dans le prix à la consommation.
Nous le peuple du Québec, en plus de payer plus cher pour les produits des compagnies acheteuses de GES, nous allons subir le foudres de Mère Nature. À cause de ces attaques à notre
environnement, nous devrons gérer les effets néfastes sur notre santé, notre industrie alimentaire et notre bien-être à long terme.
Tout dirigeant qui adhère à la bourse du carbone n’est pas
sérieux.
Avec le budget fédéral qui limite à une année les études environnementales, c’est bien, on ne peut pas se traîner les pieds éternellement mais il faut qu’un mécanisme accompagne cette loi pour intervenir et réajuster le tir avant qu’une catastrophe ne survienne.
Les environnementalistes qui travaillent sur un dossier ont tout intérêt à faire attention, être précis et justifier leurs recommandations.Avec le budget fédéral qui limite le temps, 100% du coût de réparation de toutes sortes est défrayé par l’état (nous payeurs de taxes et impôts). Cette loi du gouvernement fédéral, c’est comme donner un chèque en blanc à Jean Charest pour son plan nord.
Les compagnies étrangères ont le meilleur bout du bâton, ils ont notre minerai et pas de risques de perdre leur investissement, le tout est protégé par le premier ministre du Québec et du Canada.
Dans le dossier des Gaz de shiste, voici le vrai monde affecté au quotidien avec ce problème.
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