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Génocide d’un peuple par assimilation, sa langue française, sa culture et son histoireVoici ce qu’un conquérant a fait subir au seul peuple francophone des Amériques et continue aujourd’hui de plus belle.
Les rudes épreuves du français au Canada
Après l'arrivée des Anglais en Nouvelle-France - Acadie et Canada - il aura fallu manoeuvrer vigoureusement pour éliminer les populations francophones des territoires et provinces hors Québec. Avec le texte suivant ainsi que celui sur « Les minorités francophones au Canada et les lois anti françaises » nous découvrons tout un plan du régime d'apartheid anti Canadien mis en place par le pouvoir anglo-impérialistes du 18ième siècle jusqu'à nos jours.
1755 Lors de l'abominable déportation des Acadiens. les Britanniques expulsent 12 000 francophones de leur pays natal, déchirant familles et amitiés. Famine et misère attendent les survivants. Le peuple Acadien ne s'est jamais vraiment remis de ce drame atroce.
1871 Le «Common School Act» du Nouveau-Brunswick (l'ancienne Acadie) enlève aux minorités françaises vivant sur son territoire, leurs droits à l'école en français.
1877 Le «Public School Act» interdit l'enseignement du français à l'Île-du-Prince-Édouard (un autre morceau de l'ancienne Acadie).
1890 Le Manitoba abolit les écoles catholiques et l'usage du français.
1905 L'Alberta réduit l'enseignement du français aux première et deuxième années. Après : une demi-heure par jour.
1912 L'Ontario réduit l'enseignement du français à la première année du primaire (règlement XVII).
1914 La première guerre mondiale éclate. Les Canadiens-Anglais réclament la conscription mais le Québec la rejette en bloc. En guise de représailles, l'Ontario bannit le français de ses écoles.
1916 La loi Thornton abolit l'enseignement du français au Manitoba.
1927 Le KKK (Klu Klux Klan, regroupement fanatique anti-noir, anti-juif, anti-catholique et anti-français) devient très influent en Saskatchewan. Allié au mouvement orangiste, il prêche la déportation des noirs et des non-protestants et s'oppose à toute présence de la langue française, si minoritaire soit-elle, à l'extérieur du Québec. Le Klan est présent et très actif au congrès du Parti Conservateur provincial en mars 1928.
Plusieurs délégués du parti sont également membres du Klan et on les laisse distribuer leur documentation haineuse en toute quiétude.
1928 Avec le soutien de la hiérarchie protestante de la Saskatchewan, les klanistes montent des campagnes contre l'utilisation du français dans les écoles. Au printemps de 1928, les commissaires canadiens-français de la province sont traduits en justice pour avoir osé permettre l'enseignement du français pour une période de temps ayant dépassé l'heure permise par la loi et pour avoir permis la conversation française durant les heures de classe et de récréation. On doit remplacer le premier juge de paix à cause de ses liens avec le KKK. Après de longs mois, les commissaires sont acquittés mais le coût des avocats est élevé. Il a fallut solliciter un appui financier de toute la population francophone pour payer la note.
1929 James T. M. Anderson est élu à la tête de la Saskatchewan. S'ouvre alors un chapitre sombre dans l'histoire des Fransaskois. Partisan du « English Only » dans les écoles, il prend immédiatement des mesures anti françaises. Quelques mois seulement après les élections, il abolit l'échange des brevets d'enseignement avec le Québec, ce qui rend presque impossible le recrutement d'enseignants francophones par les écoles de la province. La même année, le gouvernement annonce que le catéchisme sera uniquement enseigné en anglais. En 1931, le gouvernement de Regina supprime complètement le cours primaire en français. Le français ne peut plus être enseigné plus d'une heure par jour. Les historiens évaluent que le KKK comptait entre 10 000 et 15 000 membres en Saskatchewan à cette époque et que le regroupement fanatique fut très influent au sein du parti Conservateur de Anderson.
1933 Fondation de la Commission canadienne de la radiodiffusion (CCR). Dès la diffusion de ses premières émissions, la CCR est dénoncée avec vigueur au Canada anglais parce qu'elle diffuse quelques bribes d'émissions en français. Au printemps, plusieurs groupes fanatiquement anti-francophones s'allient dans une grande manifestation au Massey Hall, suivie d'une seconde à Guelph. On y retrouve le Protestant Vigilance Committe, les Royal Black Knights of Ireland et les Sons of England of Prince Albert. Ils dénoncent le bilinguisme à la radio et déclarent que le Canada ne doit pas devenir un pays bilingue. Ils ajoutent que le français ne doit recevoir aucune reconnaissance officielle à l'extérieur du Québec.
1944 Après l'élection des néodémocrates en Saskatchewan, le gouvernement implante un système de grandes unités scolaires qui vient mettre un terme à l'existence des petites écoles rurales francophones. Les jeunes Fransaskois deviennent les minorités des grandes écoles centralisées, ce qui cause une augmentation dramatique du taux d'assimilation des francophones.
1944 Des représentants des associations francophones de Manitoba, de la Saskatchewan et de l'Alberta vont rencontrer les gouverneurs de Radio-Canada pour demander des licences afin d'exploiter quatre stations de radio francophones dans l'Ouest. Le Bureau leur accorde seulement une licence, celle de CKSB à Saint-Boniface. La création de cette station se fait grâce à des collectes de fonds au Québec et dans les communautés francophones de l'Ouest, sans qu'un seul cent ne soit versé par Radio-Canada ou le gouvernement fédéral. Ce dernier est trop occupé à financer un deuxième réseau radiophonique en anglais (le réseau Dominion) pour se soucier des francophones qui n'ont même pas de services dans leur langue. Radio-Canada n'accorde leur station aux Acadiens qu'en 1953. La radio française de Radio-Canada n'arrivera à Toronto que dans les années 1960.
1965 Des parents francophones de Saskatoon décident de retirer leurs enfants de l'école pour protester contre un règlement scolaire stipulant que l'anglais est la seule langue d'enseignement et que le français ne peut être utilisé qu'une heure par jour.
1971 Le recensement fédéral rapporte un taux d'assimilation des francophones de 50,9% en Alberta, de 43,8% en Saskatchewan et de 30% au Manitoba. Malgré cela, aucune mesure n'est prise par le gouvernement.
Printemps 1990 En Ontario, une quarantaine de villes suivent l'exemple de Sault-Sainte-Marie (une ancienne fortification française) et se déclarent «unilingues anglaises». Dans la municipalité ontarienne de Brockville, un groupe d'extrémistes anti francophones s'essuient les pieds et crachent sur le drapeau du Québec devant les caméras de télévision. Face à ces démonstrations haineuses, l'éminent politicien fédéraliste libéral Claude Ryan déclare en chambre: «Si de telles manifestations d'hostilité envers le fait français devaient continuer à se multiplier (...) il faudrait à n'en point douter que nous nous interrogions de manière décisive sur notre place dans ce pays.»
Mars 1994 La décision du gouvernement Chrétien de déménager les effectifs du Collège militaire Saint-Jean (le seul et unique collège militaire francophone du pays) à Kingston, en Ontario, lève le voile sur le traitement scandaleux des minorités francophones de l'Ontario.
2004 En Ontario, le groupe Canadians for Language Fairness conteste devant les tribunaux la politique de bilinguisme de la ville d'Ottawa. Le groupe désire prouver l'illégalité de la politique de bilinguisme d'Ottawa. Pour ce faire, le groupe recrute l'avocat Arthur Cogan, célèbre pour avoir tenté d'invalider la loi anti-tabac de la Ville d'Ottawa. Le groupe désire que la capitale du pays devienne unilingue anglaise.
Source : COUTURE, Patrick. « Les rudes épreuves du français au Canada » dans Chez Cousture: Histoire et BD, [http://canadalibre.ca/rudes-epreuves], (3 février 2013).
Ce peuple francophone, concentré dans la région appelée Québec, régnait jadis sur les 2/3 de l’Amérique du Nord, demande votre collaboration et si les gens de tous les pays du monde envoient un courriel d’encouragement à Pierre Karl Péladeau, qui est dans la course à la chefferie pour le seul parti qui prône le Québec pays pour le peuple francophone, le PQ, et un autre au secrétaire des Nations Unies pour qu’ils se penchent sur le génocide par assimilation des francophones au Canada.
Voici un texte pour un courriel à Pierre Karl Péladeau: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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